Archives / Journal N°36 - mardi 20 septembre 2011
A l’intérieur d’une terrible beauté
Jusqu’au 31 décembre, elle occupe quatre lieux, dotés chacun d’une atmosphère particulière. A La Sucrière se côtoient œuvres monumentales et dessins. Au musée d’art contemporain se raconte une histoire où il est question de lignes, de temps, de frontières. La fondation Bullukian fait place à l’utopie. Et la démesure, le joyeux artifice sont en scène à l’usine Tase.
“A quoi avons nous affaire ? Y a t il seulement un sens à cela ? Ou pas ?”, écrit Thierry Raspail dans le catalogue de l’exposition. A chacun d’aviser. Déjà faut-il parcourir, regarder, écouter. Les œuvres se donnent à voir, donnent à penser la frontière, les passages, l’opposition, les imbrications entre le beau et le terrible. L’état de l’art renvoie à l’état du monde, l’art en même temps se distancie du réel, mais l’art peut-il vraiment transformer le monde ?
Pratique : usine Tase, 14 allée du Textile (entrée piéton, rue du Rail). www.labiennaledelyon.com
Après son inauguration à La Sucrière, en présence du ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, la biennale d’art contemporain s’est ouverte au public.
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